Tous les habitants ont fui la maison en feu, sauf un. Deux pompiers veulent tenter un sauvetage à la dernière minute. Ils trouvent la chambre, mais une épaisse fumée leur bloque la vue. Malgré la chaleur de l'incendie, une caméra thermique leur permet de repérer un corps grâce à la différence de température. Juste à temps !
Contrairement à de nombreux animaux, nous sommes bien capables de sentir le faisceau chaud de la lumière infrarouge sur notre peau à courte distance, mais nous ne pouvons pas le voir. La caméra thermique « traduit » pour l'œil humain cette gamme de fréquences lumineuses qui, sans assistance technique, reste sinon invisible.
Il existe différentes méthodes physiques et techniques pour traduire cette lumière en fréquences visibles. Pour faire simple, le signal original entrant est capturé par des composants optiques et transmis à un système opto-électronique qui le convertit et le restitue sous forme d'impulsions lumineuses dans la gamme de fréquences visibles. Selon un principe similaire, les dispositifs de vision nocturne amplifient la lumière faible.
Les domaines d'application des caméras thermiques et des équipements de vision nocturne sont nombreux. Ils vont du calcul de l'efficacité énergétique des bâtiments à la prise de température sans contact, en passant par la chasse et les applications militaires. Dans tous les cas, les ondes électromagnétiques sont reçues, focalisées et dirigées selon un processus qui s'apparente à la celui de la photographie et utilise les mêmes éléments optiques : pour la mise au point et le zoom, les lentilles sont déplacées, les diaphragmes réglés, les filtres positionnés et les obturateurs actionnés.
Pour de telles tâches, les micromoteurs C.C. de la série 1524 ... SR avec commutation métaux précieux s'avèrent parfaitement adaptés. Il y a suffisamment de place pour les moteurs pas à pas DM 0620, même dans les micro-objectifs les plus compacts. Outre un grand choix de moteurs, FAULHABER propose également des réducteurs, des codeurs et d'autres accessoires adaptés.
