Lorsque nous parlons de tatouage et de tatoués, nous utilisons des mots d'origine polynésienne. En samoan, « tatau » signifie « correct » ou « précisément de la bonne manière ». Cela fait référence à l'art du tatouage rituel élaboré des cultures locales. Les marins de l'époque coloniale ont ramené les tatouages et le terme de Polynésie et ont lancé une nouvelle mode d'ornement de l'épiderme.

De nos jours, on trouve de nombreux studios de tatouage dans toutes les grandes villes. Ils proposent de tout, du petit symbole de yin-yang sur la cheville à l'ornement à grande échelle de parties entières du corps. Toutes les formes et tous les motifs imaginables sont possibles et les dessins sur la peau sont souvent très artistiques.

La base technique inclut l'habileté indispensable du tatoueur, mais aussi le bon outil. Un dermographe fonctionne de manière similaire à une machine à coudre : une ou plusieurs aiguilles oscillent et pénètrent dans la peau. Le pigment est injecté à l'endroit désiré du corps à une fréquence de plusieurs milliers de piqûres par minute.

Dans les dermographes modernes, l'aiguille est déplacée par un moteur électrique. La qualité de l'entraînement joue ici un rôle décisif. Celui-ci doit fonctionner le plus silencieusement possible et pratiquement sans vibrations. Étant donné qu'une seule séance de tatouage peut durer plusieurs heures, la machine doit être ultralégère, mais néanmoins fournir la puissance nécessaire – et ce pendant des heures et lors de nombreuses séances. Les entraînements C.C. à commutation par métaux précieux de FAULHABER et les entraînements C.C. plats sans balais avec contrôleur de vitesse intégré sont parfaitement adaptés à ces exigences. Selon le modèle, ils ne pèsent que 20 à 60 grammes et leur rendement atteint jusqu'à 86 %.