La haute Technologie en lieu et place des traitements
Soigner le cerveau par Stimulation: La stimulation magnétique transcrânienne ou TMS (Transcranial Magnetic Stimulation) est une technique médicale qui permet tant de stimuler que d'inhiber certaines aires du cortex cérébral à l'aide de champs magnétiques focalisés très puissants. Elle présente l'avantage d’être non invasive et indolore et constitue une alternative aux traitement médicamenteux dans certaines pathologies neurologiques ou psychiatriques. Grâce à des micromoteurs, cette nouvelle technique a pu être automatisée, avec un dispositif compact, présentant un haut niveau de sécurité et une précision améliorée par rapport au geste manuel.
Il y a quelques années encore, les tatouages avaient surtout la cote auprès des motards. Aujourd'hui, il est tout naturel qu'un jeune de 16 ans demande une peinture corporelle permanente pour son anniversaire. Les motifs vont du petit dauphin sur la cheville à la redoutable tête de mort, mais il existe également des tatouages beaucoup plus personnels, comme par exemple celui de l'actrice Angelina Jolie qui porte une prière bouddhiste sur le dos.
Cet art corporel a une histoire.
En effet, l'application d'images sur la peau est une tradition qui, dans les cultures les plus diverses, remonte à des milliers d'années. Depuis toujours, on se sert d'aiguilles ou autres objets acérés pour fixer des pigments sur la peau de manière indélébile. Plusieurs tatouages ont été découverts sur Ötzi, homme préhistorique âgé d'environ 5300 ans, et des archéologues en ont également identifiés sur la momie de 4000 ans de la prêtresse égyptienne Amemet. Les techniques de tatouage de l'époque était extrêmement douloureuses étant donné que les motifs étaient gravés dans la peau avec des instruments en bois, des os humains, des dents de requin ou des épines. De nos jours, la procédure fait moins mal, l'hygiène est meilleure et le niveau technique très élevé, surtout si les dermographes renferment des moteurs de FAULHABER.
Exigences.
Les tatoueurs professionnels se considèrent comme des artistes, les dermographes constituant, par conséquent, les instruments qui leur permettent de matérialiser leur art. Pour réaliser un grand tatouage, il leur faut plusieurs heures sans pause, raison pour laquelle les dermographes modernes se doivent d'être légers et flexibles, adaptés aux mouvements de l'utilisateur. Pour améliorer l'intervention, il est également souhaitable que l'appareil vibre peu, soit silencieux et tienne bien dans la main.
À première vue, un dermographe fonctionne un peu comme une machine à coudre : une ou plusieurs aiguilles oscillent et ponctuent la peau. Les milliers de piqûres par minute assurent la pénétration de la couleur dans la partie du corps ciblée. Un tatoueur chevronné ne pique ni trop en surface, ni trop en profondeur : dans l'idéal, il touche le mésoderme. En effet, s'il reste trop en surface, le tatouage ne se fixe pas de manière permanente, et s'il pique trop profondément, des saignements viennent influencer le tracé de la couleur appliquée.
Technique.
Les tatoueurs ont le choix entre deux types de dermographes : à bobines ou rotatifs. Les dermographes de l'ancienne génération, ceux à bobines, fonctionnent à la manière des sonnettes de porte d’antan, avec un marteau qui frappe un petit gong en rafales. Le courant alternatif qu'utilisent ces dermographes classiques inverse la polarité de la bobine magnétique à chaque alternance et actionne ainsi l'aiguille. Actuellement, c'est encore cette technologie qui est le plus souvent employée dans les studios de tatouage. De leur côté, les dermographes de la nouvelle génération utilisent des moteurs électriques performants, l'aiguille est actionnée non pas par une bobine mais par un moteur. Ces dermographes rotatifs présentent l'avantage de fonctionner tout en douceur et nettement plus silencieusement que les dermographes à bobines et de bien mieux tenir dans la main grâce à leur légèreté. Le moteur des appareils coudés se trouve dans la partie transversale et fait osciller l'aiguille d'injection linéairement en actionnant un mécanisme excentrique, d'où la nécessité d'utiliser des micromoteurs C.C. plutôt courts et épais. La gamme de produits FAULHABER en propose dans plusieurs variantes et technologies. Selon le modèle, les entraînements pèsent entre 20 et 60 grammes et présentent un rendement élevé pouvant atteindre 86 % qui leur permet d'obtenir les performances nécessaires.

Solutions optimales.
De par leur technologie, les moteurs FAULHABER se distinguent par un rendement très élevé qui constitue non seulement un avantage en fonctionnement sur batterie, mais grâce à leur densité de puissance élevée, permet d'intégrer des solutions d'entraînement plus compactes et plus légères, d'un diamètre de 13 millimètres, par exemple, dans les pièces à main de maquillage permanent. Les modèles de FAULHABER se différencient des moteurs C.C. traditionnels par leur rotor qui n'est pas enroulé sur un noyau en fer mais comporte une bobine de cuivre autoportante à bobinage oblique. Il en résulte des poids de rotor minimes, un fonctionnement sans à-coups, dynamique, exempt de couple résiduel et ne subissant pas les pertes par inversion magnétique que rencontrent habituellement les autres technologies.
Bien plus que la compétence technique.
Pourtant, les aspects techniques ne sont pas les seuls à plaider en faveur de FAULHABER. Nombreux sont les clients qui apprécient, au-delà des systèmes d'entraînement, les services offerts autour des produits, notamment la possibilité d'adapter l'arbre ou les connecteurs à leurs souhaits, même pour un nombre de pièces relativement restreint. FAULHABER se démarque également grâce à ses accessoires, une multitude de composants à combiner sans difficulté. Les fabricants de dermographes ne sont pas les seuls à en profiter.


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Axilum Robotics
www.axilumrobotics.com